Données Générales
Nom et Prénom: Alouette Chagnon
Surnom: Allie
Âge: 15 ans
Sexe: Féminin
Groupe: étudiante
Origine: Un petit village dans le fin fond du Canada
Résumé de l'histoire: (je crois que c'est essentiel)
Un jeune garçon possédant des dons de métamorphose vit dans l'ombre de sa grande soeur décédé le jour de sa naissance, jusqu'au jour où il se réveille dans le corps d'une fille. Un Irlandais amis de sa famille finit par convaincre ses parents de l'envoyer à Surprenant afin qu'il(elle) n'ait plus à se cacher.
Histoire:
Dans le petit village de Sainte-Barnabée-sur-le-lac, un petit couple en apparence bien heureux vécut la joie de devenir parents. En effet, suite à de nombreux essais infructueux, Patricia Chagnon, épouse de Benoit Chagnon donna naissance à une magnifique petite fille par une chaude journée de printemps. Bien que l’accouchement fût difficile, la magnifique petite créature qui venait de venir au monde avait tout pour combler ces heureux parents.
Lucie Chagnon fut l’enfant la plus choyée au monde pendant les dix ans où elle vécut en enfant unique. Sa mère, Patricia, la voyait comme l’être le plus important au monde, et son père, étonnamment religieux pour son époque, croyais qu’elle était une envoyée de Dieu.
Comme toute bonne chose, cependant, leur bonheur connu une fin des plus tragiques. Alors même que Patricia apprenait qu’elle attendait un nouvel enfant, leur petite Lucie commença à manifester des problèmes de santé assez sévère. À la petite école où Lucie allait, cette dernière était de plus en plus fatiguée, et il lui est même arrivé de perdre connaissance en plein milieu des classes. Les parents, inquiets, l’emmenèrent à l’hôpital afin de voir ce qui n’allait pas avec l’amour de leur vie. Deux semaines après avoir appris qu’ils allaient avoir un nouvel enfant, les Chagnons apprirent qu’ils allaient en perdre un.
Leucémie : Le mot était tombé comme un couperet sur leurs rêves. La très rapide progression de la maladie laissait présager une mort rapide avec très peu d’espoir de guérison. Alors même que le ventre de la mère de Lucie se gonflait d’un nouveau petit être, le corps de la petite fille dépérissait sous les yeux horrifiés de ses parents. Benoit Chagnon pria Dieu de toutes ses forces pour qu’il sauve l’ange de sa vie de la mort effroyable qu’il semblait lui réserver. Mais Dieu resta sans merci, alors que Lucie, leur petite chérie à la chevelure dorée qui débordait d’une telle joie de vivre, devenait une pauvre petite créature chauve et faible, gémissante de douleur face au terrible destin qui l’accablait.
Dans une cruelle ironie du sort, l’agonie de la pauvre famille dura précisément huit mois et le 26 octobre 1995, alors âgée de 11 ans, la petite Lucie Chagnon s’éteignit dans les bras de son père agonisant. Mais, comme si Dieu lui-même avait voulu jouer un mauvais tour à la pauvre famille, la mère, la pauvre, ne put assister au dernier souffle de sa fille. En effet, car au moment même où l’ainée de la famille quitta ce monde, Patricia expulsa de ses entrailles une nouvelle vie. Il est possible de penser que les âmes de ses deux êtres se croisèrent quelque part à ce moment, l’un prenant la place de l’autre.
Une fois qu’Alexandre Chagnon, cet enfant oublié pendant toute la grossesse, éclipsé par sa grande sœur, fut installé au sein de sa mère et que celle-ci eu récupérer de ses douleurs, on laissa entrer le père éploré pour lui apprendre l’horrible nouvelle. Dans ce moment de grande confusion, les parents ne savaient plus quoi penser. D’un côté, ils ne pouvaient en vouloir à l’enfant d’être né en de pareilles circonstances, mais d’un autre, ils ne pouvaient se départir de la désagréable impression qu’il était venu prendre la place de Lucie.
Patricia pris un long congé de maternité et en profita pour faire le deuil de sa fille. Alexandre, bébé, lui ressemblait tellement qu’elle passait ses journées à le regarder en pleurant et en marmonnant « Mon pauvre bébé… Ma pauvre petite… ». Benoit Chagnon, lui, s’investit encore plus dans son travail afin de cacher sa douleur. Il s’était promit d’aimer son enfant comme un père se doit de le faire, mais il se sentait tout de même mal à l’aise de voir cet enfant qui ressemblait tant à sa fille disparue.
Cependant, la vie repris son cours, malgré le trou béant laissé par la bien-aimée Lucie. La famille Chagnon finit par se solidifier autour du petit Alexandre. Patricia lui chantait les mêmes berceuses qu’elle chantait à Lucie, sa préférée étant « Alouette, gentille alouette… ». Le jeune garçon grandi, et devint un petit bonhomme un peu solitaire, assez timide, même. Les chansons de sa mère y étant certainement pour quelque chose, il acquit assez rapidement une véritable passion pour les oiseaux et pour l’ornithologie. Il eut même droit à sa première paire de jumelle dès l’âge de quatre ans.
Cependant, il y a une chose qui semblait anormal chez cet enfant. En effet, il semblait que ce dernier possède un étrange don de métamorphose. Patricia fut la première à remarquer le changement, quand elle s’aperçut un jour que la couleur de cheveux de son fils avait changé. Ce dernier, âgé de quatre ans, lui dit que c’était Lilly, son amie imaginaire qui lui avait montré comment faire. S’il lui avait parfois semblé que la couleur des yeux de son fils changeais ou encore les traits de son visage, le changement redevenait toujours à la normale au second coup d’œil. Mais cette fois-là, impossible de l’attribuer à son imagination. Son fils, qui avait des cheveux ordinairement d’un brun foncé, avait maintenant une chevelure blonde. Convaincu que quelque chose n’allait pas, elle ne tarda pas à se présenter à la clinique pour trouver l’explication à cet étrange phénomène. Cependant, dès qu’elle y arriva, les cheveux de son fils avaient retrouvé leur apparence normale. Elle tenta tant bien que mal d’expliquer la situation à son docteur, mais celui-ci lui conseilla de consulter un psychologue, croyant qu’elle avait de la difficulté à accepter le deuil de sa fille. Sachant bien ce qu’elle avait vu, elle refusa et fut dans les jours suivant beaucoup plus attentive à son fils. Elle constata que le phénomène se reproduisait régulièrement, qu’ils s’agissent des yeux de son fils, de ses cheveux, de sa peau. À chaque fois, le jeune Alexandre évoquait son amie imaginaire Lilly pour expliquer ces changements.
Patricia put finalement constater qu’elle n’avait pas perdu la raison quand son mari finit lui aussi par être témoin d’un tel changement. Il jugea la situation fort inquiétante et amena à nouveau le jeune garçon chez le médecin. Croyant à une psychose collective du couple, le médecin leur recommanda une thérapie conjugale afin de régler leurs angoisses non réglés.
Ne souhaitant pas consultant et sachant à quel point une telle situation risquait de partir des rumeurs dans leur petit village où tout se sait instantanément, ils préférèrent garder le silence sur la situation. Après tout, le jeune Alexandre semblait en bonne santé, il n’était certes, pas très sociable avec les petits garçons de son âge, mais il était tout simplement solitaire de nature. Ce dernier passait tout son temps à observer les oiseaux. Une autre de ses activités préférées consistait à aller voir un vieil homme qui était voisin à leur maison que tous appelaient l’Irlandais. L’Irlandais était un vieux barbu qui avait toujours des histoires extraordinaires à raconter et Alexandre avait pour lui une admiration sans borne. Les parents d’Alexandre, qui connaissaient bien l’Irlandais et le trouvait fort sympathique, ne voyaient pas d’inconvénient à ce que leur fils passe ses journée là-bas, à écouter les histoires extraordinaire que ce dernier avait à raconter. L’Irlandais devient aussi un grand confident pour le petit garçon, qui se sentait gêné de se confier à ses parents par peur d’être comparé à sa grande sœur qu’il n’avait jamais connu.
En effet, les parents d’Alexandre, qui pourtant c’étaient jurés de donner tous l’amour qu’ils pouvaient offrir à leur fils, ne pouvaient s’empêcher de le comparer avec leur fille décédée. Celle-ci conservait une place si important dans leur vie qu’ils n’avaient même pas eu le courage, après cinq ans, de changer sa chambre. Cette pièce était donc devenue un autel en hommage à leur fille, et Alexandre aimait d’ailleurs bien se retrouver dans cette pièce, sentant presque la présence de sa grande sœur qu’il n’avait jamais connu. C’est dans cette pièce qu’il avait rencontré Lilly pour la première fois. Pour Alexandre, Lilly était tout ce qu’il y a de plus vrai. Elle avait le même âge que lui et possédait une grande chevelure de la même couleur que la sienne. C’est aussi elle qui lui disait comment faire pour se transformer.
Ces transformations étaient plutôt étranges, parfois, il ressentait le besoin d’être quelqu’un d’autre, et alors, en se concentrant, il arrivait à changer quelque chose sur lui. Ces changements étaient toujours temporaires, mais en se pratiquant, il arrivait à mieux les contrôler et à les garder plus longtemps. Mais ce qu’il demandait toujours à Lilly, et ce qui était son plus grand rêve, c’était de pouvoir se transformer en oiseau pour aller voler avec ses plus grands amis volatils. Il les enviait tellement qu’il aurait donné n’importe quoi pour pouvoir voler avec eux. Un jour, alors qu’il était âgé de six ans, Lilly vint le voir, et lui dit qu’il pouvait le faire, qu’il n’avait qu’à étendre ses ailes et à s’envoler. Alexandre sauta de la fenêtre de sa chambre et s’écrasa bruyamment sur le sol. Son père accourra alors, affolé, mais trouva à la place de son fils une alouette qui chantait en l’apercevant. Quelques instants plus tard, son fils, tout sourire, avait pris la place de l’Alouette. Le père, qui connaissait les capacités de son fils, préféra s’en retourner et faire comme si rien n’était arrivé.
À partir de ce jour, Alexandre passa encore plus de temps à essayer de se rapprocher de ses amies les oiseaux. Curieusement, depuis qu’il avait réussis à se transformer en oiseau, Lilly ne revint plus le voir. Son amie lui manquait, mais grâce à ses nouvelles capacités, il se fit encore plus d’amis parmi les oiseaux. Ceux-ci étaient d’abord méfiant envers ce nouvel arrivant, mais il finit par réussir à se rapprocher d’eux et par pouvoir passer encore plus de temps en leur compagnie.
L’Irlandais, qui n’ignorait rien des capacités d’Alexandre, ne semblait aucunement surpris de ce don. En fait, il raconta à Alexandre qu’il existait près de son pays, au Royaume-Unis, une île remplis de personnes qui avaient des pouvoirs semblable aux sien. Dès ce moment, Alexandre rêva de rejoindre cette fameuse île.
L’année suivante, âgé de sept ans, Alexandre entra à l’école, en première année. Bien que très timide, il finit par apprendre à socialiser avec les autres enfants et finit par se faire quelques amis autres que ses amis à plume. Ces parents lui avaient clairement enseigné qu’il ne devait en aucun cas laisser savoir à ses amis qu’il avait un don. Pourtant, il arrivait que les professeurs téléphonent chez lui, complètement abasourdi quand Alexandre, apeuré ou contrarié, s’était enfermé dans un placard d’où n’en est ressorti qu’un Alouette qui s’enfuit à tire d’aile.
Malgré cela, le jeune garçon continua de grandir, menant une vie relativement normale, malgré ses pouvoirs étranges. Il se servait parfois de sa capacité à modifier son apparence physique afin d’échapper au problème, se transformant en une personne différente afin de passer inaperçu ou encore se changeant en alouette pour se sauver d’un groupe de jeune caïd riant de lui à cause de sa passion pour l’ornithologie.
Il finit malgré tout par se faire une bonne amie, Julie Wallon, qui aimait beaucoup, tout comme lui, passer du temps chez l’Irlandais pour écouter les histoire qu’il racontait. Alexandre avait fini par partager avec elle son secret, elle-même lui révélant que tout le monde au village s’en doutaient bien. Les deux devinrent bientôt inséparables. Chaque fois qu’Alexandre se sentait triste, que ce soit à cause de ses parents qui semblaient aimer plus sa sœur morte que lui, ou encore à cause des autres enfants qui riaient de lui et le traitait de poulet parce qu’il passait son temps à parler et à regarder les oiseaux, il se transformait en alouette et allait se poser sur la fenêtre de la chambre de Julie. Celle-ci lui disait alors que tout allait bien allez, et qu’un jour, il partirait pour Surprenant, cette fameuse île dont parlait l’Irlandais où tous les rêves devenait réalité.
Le temps passant, Alexandre vieillissait, et s’approchait de plus en plus de l’âge où sa sœur avait trouvé la mort. Pour ses parents, cela se traduisait par une grande angoisse, une peur irrationnelle de perdre leur fils comme ils avaient perdu leur fille. Cette période fut très difficile pour Alexandre, ses parents l’empêchant systématiquement de sortir par peur qu’il lui arrive un malheur. Ils en vinrent même à mettre des barreaux à sa fenêtre afin qu’il ne puisse plus partir à tire d’aile dans sa chambre.
Puis, le 26 octobre 2007, après que ces parents, rongés par la tristesse, soulignèrent avec une attention encore plus soutenu l’anniversaire de mort de leur fille qui coïncidait avec l’anniversaire de naissance de leur fils, qui avait maintenant onze ans, quelque chose de très particulier arriva. La veille de cette journée, Alexandre s’aventura dans la chambre de sa défunte sœur. Comme il aimait souvent le faire, il se coucha dans son lit et finit par s’y endormir. Pendant la nuit, il fit un rêve très étrange. Dans ce rêve, il revu Lilly, qu’il n’avait pas revu depuis des années. Celle-ci lui demanda pourquoi il était triste. Il lui expliqua que se parents aimaient plus sa sœur que lui, et que ça le rendait triste. Il voudrait être plus comme elle, afin que ses parents l’aiment plus, lui aussi. Lilly secoua alors sa grande chevelure brun foncée lui dit en riant que c’était possible, qu’il pouvait devenir comme elle. Lilly lui dit alors « Tout ce que tu as à faire, c’est te réveiller! ».
À son réveil, il s’était passé quelque chose d’extraordinaire. En effet, à son réveil, Alexandre n’était plus un petit garçon, mais bel et bien une petite fille! Sa chevelure brune avait allongée, son visage, déjà délicat, présentait des traits encore plus féminins et bien, bien sûr, le changement le plus majeur se trouvait cachés sous son pyjamas. Sa mère, qui vint le réveiller, n’en croyait pas ses yeux. Elle était habituée de voir son fils sous différentes apparence, mais celle-ci était drastiquement différente. D’autant plus qu’avec son apparence féminine, il ressemblait encore plus à sa fille, et elle en fut profondément troublée. Elle appela immédiatement son mari, qui subit le même choc qu’elle. Alexandre, qui était tout aussi confus, ne comprenait pas la situation.
Son père finit par lui ordonner de redevenir normal. Il tenta de toutes ses forces, mais ne réussis qu’à modifier temporairement ses traits, sans toutefois réussir à retrouver son sexe original. Il devait alors se rendre à l’évidence, il était coincé dans ce corps. Ses parents décidèrent de cacher cette situation, comme ils l’avaient toujours fait. Ils lui coupèrent les cheveux et le firent s’habiller comme il s’était toujours habillé. À l’école, on remarquait bien une différence, et on le taquina beaucoup sur le sujet, mais tous étaient plutôt habitués à la situation. Il continua donc à vivre comme un garçon dans le corps d’une petite fille. Cependant, il se sentait malheureux de devoir à nouveau cacher qui il était devenu. Julie, qui fut bien sûr tout de suite au courant de la situation, le supporta jusqu’au bout. Si ses parents réussirent à cacher la situation pendant quelques temps, après un an ou deux, une situation fort problématique se présenta. En tant que jeune fille, son corps commençait à changer et il devenait de plus en plus difficile pour Alexandre de continuer à se cacher. Ses parents finirent par le retirer de l’école et ce fut sa mère qui lui fit les classes à la maison. Pendant quelques années, il vécut, caché des regards, emprisonné chez ses parents qui pourtant, voulaient son plus grand bien.
Cette situation était bien trop troublante pour les parents d’Alexandre. Bien qu’ils ressentaient un plaisir coupable à l’idée que leur fils s’était transformer et avait en quelque sorte redonné vie à Lucy, ils ne pouvaient se permettre d’accepter tout ce qui se racontait au village. Déjà, leur famille était isolée de tout le reste et la situation était très difficile. Au début, Alexandre se sentait révolté. Ce changement avait gâché sa vie, et il lui semblait que rien ne pourrait le soulager. Vers 12-13 ans, alors que son corps se rapprochait de plus en plus de celui d’une femme, il sombra dans une dépression. L’Irlandais, avec qui il parlait encore, quoi que bien moins souvent, finit par être très inquiet de la situation. Il laissa allez les choses, espérant que les parents d’Alexandre finiraient par trouver raison. Mais comme la situation perdurait, et qu’Alexandre, âgé maintenant de 14 ans, n’était plus que l’ombre de lui-même, ce dernier se manifesta. Il se présenta chez les Chagnon et expliqua fermement qu’il était temps pour eux de tourner la page et d’accepter ce qu’était devenu leur fils.
Il leur parla de Surprenant, une école qui existe vraiment et qui saurait peut-être ramener leur fils à son état normal. Il leur expliqua que là-bas se trouvaient des êtres extraordinaire comme lui et qu’il bénéficierait grandement d’y faire un séjour. Ce fut long, mais les parents d’Alexandre finirent par accepter.
Bientôt âgé de 15 ans, Alexandre appris que son vœu le plus cher allait se réaliser. Il allait enfin aller vivre dans cet endroit extraordinaire qu’il avait tant rêvé de voir. Cependant, pour s’inscrire, il allait devoir accepter qu’il n’était plus un garçon, et qu’il devrait se présenté là-bas tel qu’il est. Après une longue réflexion, il finit par accepter. Pour son nom, l’idée lui vint très rapidement : Alouette. Le symbole de sa liberté.
Avec Julie, il suivit un cours en accéléré afin d’être capable de vivre dans un milieu social en tant que fille. Celle-ci finit par lui donner le surnom d’Allie, qu’Alouette aimait bien puisque cela lui rappelait son amie imaginaire Lilly. En quelques mois, Alouette appris à assumer son état de fille tout en exerçant un peu plus, sa liberté, ses parents ayant accepté de lui donner du lest pour qu’elle puisse mieux s’adapter une fois rendu là-bas.
Finalement, le jour arriva où Alouette put enfin s’envoler vers Surprenant, là où la liberté l’attendait.
Descriptions
Description Physique: Alouette est en apparence une jeune fille, assez maigre, habituellement vêtu de façon très sobre et masculine. Elle porte de courts cheveux bruns et son regard est souvent perdu vers le ciel, comme si elle réprimait constamment une envie de s’envoler vers le firmament. Ses yeux sont grand et d’un bleu très foncé. Ayant la capacité de modifier son apparence, elle est capable de modifier ses traits, ce qui fait qu’elle peut se rendre totalement méconnaissable aux yeux de quiconque.
Description Mentale: Alouette peut très certainement être considérée comme une fille timide et introvertie. Extrêmement secrète à propos de son passé, elle ne donne pas facilement sa confiance aux gens qui l’entoure. Elle a une véritable passion pour les oiseaux et l’ornithologie et elle traine toujours avec elle une paire de jumelle. Plusieurs pourrait la dire tête en l’air, mais elle est surtout rêveuse. Elle semble aussi traîner au fond d’elle-même les cicatrices d’une grande douleur, qui paraît comme une mélancolie au plus profond d’elle-même. Malgré tout, elle a la volonté de repartir sa vie sur des bases nouvelles et de s’intégrer à ce monde nouveau qui s’ouvre à elle.
Capacités Particulières:
Alouette a des capacités de métamorphoses. Ce dont s’est manifesté de manière sporadique dans sa vie et elle a acquis la capacité de modifier de façon superficielle son apparence. Ainsi, elle est capable de changer la couleur de ses cheveux, de ses yeux, les traits de son visage, le type de cheveux qu’elle et même les vêtements qu’elle porte. Ces changements sont cependant tous temporaire, et elle ne peut les maintenir que pendant quelques heures. Son talent de métamorphose lui permet aussi de se transformer spontanément en une alouette. Tout comme pour la métamorphose de son apparence, elle ne peut garder cette forme que pendant quelques heures.
Faiblesses:
N’étant une fille que depuis récemment, Alouette possède un sens de la féminité assez peu développé et elle se montre souvent maladroite dans tout ce qui relève du monde féminin.
Elle a aussi une santé mentale fragile, ce qui fait qu’elle peut assez facilement se sentir blessée et vulnérable.
Informations sur le joueur
Nom/Pseudonyme: Babykitten
Age: 19 ans
Sexe: Masculin
Pardonnez-moi pour cette histoire qui semble durer beaucoup trop longtemps O_O…
Je vous promet que mes post seront plus court!