Pour son second jour en tant que professeur, Spered s'en faisait moins que la première fois. Il se sentait plus à l'aise et plus sûr de lui.
Il pénétra donc dans la salle l'air guilleret, posa sa besace sur le bureau et tira le tableau noir jusqu'à lui, juste devant son bureau. Il farfouilla ensuite pensant dix minutes dans les tiroirs et placards à la recherches de craies. Lorsqu'il eut trouvé, il revint devant le tableau et commença à y tracer des signes japonais en sifflotant.
D'ici quelques instants les élèves allaient arriver et il voulait être prêt.